Écrire pour le web : l’impact du rédacteur web et du SEO

Écrire pour le web : l’impact du rédacteur web et du SEO

En 2022, Google est le principal moteur de recherche en France avec 90,86% d’utilisateurs devant Bing, Yahoo et Ecosia. Chaque seconde, plus de 80 000 recherches sont effectuées sur Google, ce qui représente 20 milliards de sites web visités par jour par Google. Derrière chaque requête se trouve une personne qui peut être un futur consommateur de vos biens ou services (physiques ou virtuels).

En d’autres termes, cela signifie que le web est un marché colossal qui ne cesse de grossir chaque année, +4% au cours de l’année passée. Si vous avez besoin de visibilité pour votre activité, il serait bon de s’y intéresser sérieusement.

L’importance du rédacteur SEO pour bien écrire pour le web

En tant que secteur économique clé, le web est également très concurrentiel, ce qui signifie que tous les acteurs économiques d’une niche donnée se livrent une guerre sans merci pour arriver premiers sur une requête web. Par exemple, si vous êtes dans la niche des coachs, vous pouvez être sûr que vous avez déjà des milliers de concurrents sur le web, rien qu’en France. Autrement dit, arriver en première place d’un marché très prisé et concurrentiel ne sera pas chose facile.

La solution pour y parvenir ? C’est tout simplement d’être dans la première page de résultats Google, à savoir la SERP 1, ou Search Engine Result Page 1. L’idéal étant même  de faire partie des trois premiers résultats de cette page, là où on retrouve plus de 75% du taux de clic, aussi appelé CTR (Click Through Rate). Mais alors comment atteindre ces positions ? Nous allons vous l’expliquer simplement au travers de cet article.

Si vous vous êtes déjà un peu renseigné sur le sujet de la rédaction web, vous savez sûrement ce qu’est le SEO de même que son importance pour votre site web. SEO signifie Search Engine Optimization – Optimisation pour Moteur de Recherche en français. De manière très simple, le SEO est l’art d’amener une page web parmi les premiers résultats de recherche sur une requête donnée. Autant dire que tout au long de cet article, nous nous concentrerons exclusivement sur le SEO Google, au vu de son hégémonie indiscutable. Gardez cependant en tête que ce qui est valable pour Google l’est pour tous les autres moteurs de recherche comme Bing, Yahoo et Ecosia.

Alors comment amène-t-on une page web en première place de Google ? C’est une question assez complexe. L’une des premières étapes est de travailler avec l’aide d’un rédacteur web.

Qu’est-ce qu’un rédacteur web SEO?

À la différence du “simple” rédacteur web, le rédacteur web SEO se doit de comprendre et de maîtriser l’art de bien écrire pour le web. Et notamment, être au fait des mécaniques qui se jouent sur Google pour lister et classer les contenus les plus pertinents.

Le fonctionnement de Google est aussi complexe que secret. Il est gérée par des algorithmes de programmation informatique. Ne voyez donc pas le rédacteur web SEO comme un mathématicien programmeur de génie, mais plutôt comme un fin analyste de la sémantique et des comportements de Google. S’il fallait résumer, il ne s’agit pas de connaître exactement le fonctionnement des robots scrapers de Google, mais plutôt d’analyser ce qui fonctionne le mieux au fil du temps sur le moteur de recherche.

Ainsi, la mission du rédacteur internet SEO, c’est de répondre au mieux aux questions posées par les internautes. C’est d’ailleurs ainsi qu’a été pensé tout le fonctionnement de Google. Les algorithmes développés par ce dernier ne sont là que pour faire la lecture de ce qui sera jugé comme la page web la plus pertinente vis à vis de la requête saisie.

Dès lors, le travail du rédacteur SEO est simplement de répondre à la question posée ou au mot clé recherché tout en utilisant un champ sémantique adapté : ne parlez pas de “finance” et d’ “actions” dans un article web qui est censé parler de “coaching”. Au contraire, il faudra non seulement utiliser le mot clé principal “coach”, mais aussi et surtout, toutes les expressions qui tournent de près ou de loin autour de la thématique. C’est tout simplement ce que l’on appelle un champ sémantique. En clair, il s’agit de ne pas être hors-sujet et de répondre directement et clairement à la question qui a été posée par l’internaute.

Comment bien écrire pour le web ?

La rédaction de contenu, c’est tout un art. Lorsque l’on parle d’optimisation SEO, on ne parle pas simplement du fait d’écrire un texte cohérent avec un contenu naturel. Cela va beaucoup plus loin que ça. Pour revenir sur le champ sémantique, rédiger un article à l’instinct n’est bien souvent pas suffisant, et il faudra s’aider d’outils adaptés.

Le premier de ces outils, c’est 1.fr, qui donne une suggestion de mots clés en fonction du mot clé principal. En fait, l’outil analyse les requêtes les plus recherchées en connexion avec le thème principal. Ce faisant, il optimise et adapte le champ sémantique pour indiquer au rédacteur SEO les mots clés à implémenter dans son article.

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Ensuite, il s’agit de raisonner en termes de volume de recherche : quels sont les mots clés les plus recherchés par les internautes dans la thématique voulue. Logiquement, cela permettra de toucher plus de monde. À cet effet, d’autres outils existent comme SemRush ou Ubersuggest, en vous donnant le nombre de personnes ayant tapé cette recherche sur le dernier mois. Vous pourrez ainsi saisir les mots clés suggérés dans votre texte, augmentant ainsi le “poids de vos mots”.

En clair, 1.fr vous donnera toute une liste de mots clés à utiliser pour votre texte, tandis que SemRush et Ubersuggest vous diront lesquels sont les plus impactants. SemRush et Ubersuggest sont d’ailleurs des outils extrêmement complets qui permettront au rédacteur web d’analyser le secteur et d’établir une véritable stratégie rédactionnelle en fonction de son expertise et de ce qu’il aura observé. Des métriques comme la KD ou Keyword Difficulty vous indiqueront par exemple le niveau de concurrence sur le mot clé que vous choisissez. Plus cette difficulté est importante, moins il sera facile d’espérer apparaître en première page de Google. D’autres métriques comme la tendance vous indiquent si le mot clé est actuellement porteur ou non : une autre indication intéressante. Il en existe des centaines d’autres et chacune permettra au rédacteur web SEO de rédiger un plan d’action adapté.

L’importance de l’UX, ou User Xperience

En plus de cela, il faut impérativement garder en tête la notion de SXO et l’expérience utilisateur : le SXO, c’est la rencontre entre les exigences du SEO et celles, justement, de l’expérience utilisateur. La qualité du contenu rédigé est aussi importante que les mots clés qu’il contient. Pour référencer un contenu à l’heure actuelle, il semblerait que Google tienne compte de plus en plus de la forme autant que du fond. Le marketing de contenu ou copywriting, permet d’apporter à l’internaute ou futur client, une information qualitative porteuse de sens. En effet, pendant de nombreuses années, l’accent avait été mis uniquement sur les mots clés et sur les backlinks, au détriment d’un contenu de qualité : contenus dupliqués, informations non structurées, voire parfois non vérifiées, backlinks en “black hat” (c’est-à-dire, les partiques SEO balcklistées par Google) l’utilisateur avait trop longtemps été pris pour un consommateur-produit sans le considérer comme un véritable prospect VIP. C’est ce que Google a essayé, au moins en partie, de corriger.

En prime, il est important de noter que l’UX n’est pas seulement importante en tant que signal à envoyer à Google, mais aussi, et surtout, à l’internaute lui-même. En effet, créer du contenu de qualité, documenté et copywrité est un atout en terme de pertinence d’informations et de conversion.

Dans la dernière partie de cet article, nous allons nous demander quelle est la bonne recette pour bien rédiger un article web SEO. Vous allez le voir, une attitude méthodique et minutieuse sera nécessaire pour porter votre URL vers les sommets de la SERP 1 de Google.

Rédiger pour le web à l’aide du SEO

Afin de maximiser votre référencement sur le web, il vous faudra apprendre à travailler avec des outils et une méthodologie complète. Voyons ensemble comment procéder :

1.       Définir sa requête principale en se basant sur le volume de recherche

Pour définir la requête principale sur une thématique donnée, il est important d’analyser autant la demande que le niveau de concurrence.

Pour la demande vous avez plusieurs possibilités :

  • Premièrement, répondez toujours à une requête existante de la part des utilisateurs. Vous pouvez pour cela vous rendre sur le site answerthepublic.com qui vous donnera les questions les plus posées par les utilisateurs en se basant sur un mot clé de courte traîne que vous lui aurez renseigné.
  • Deuxièmement, priorisez les mots clés ayant un volume de recherche suffisant, mais une Keyword Difficulty maîtrisée, c’est-à-dire inférieure à 50 sur le site SemRush. Pour cela, vous devrez souvent viser la longue traîne, car les mots clés de courte traîne ont tendance à être beaucoup plus concurrentiels. Pour rappel, la différence entre un mot clé de longue traîne et un mot clé de courte traîne se situe dans la longueur de l’expression utilisée dans la recherche. Par exemple, “produit bien être perte de poids” serait une version de longue traîne du mot clé “produit bien être”, lui-même de courte traîne.

2.       Rechercher la longue traîne et la sémantique associée

Grâce à des outils comme le Keyword Magic Tool de Semrush ou simplement les suggestions de recherche Google (en mode navigation privée), vous pourrez trouver tous les mots clés de courte et longue traîne associés à votre thématique. Cela vous aidera à créer un champ sémantique complet autour de votre article. Vous maximiserez ainsi le SEO, aussi appelé référencement organique ou référencement naturel.

De plus, 1.fr vous fournira une liste complète de tous les mots clés avec lesquels étoffer votre article de blog ou toute autre page de votre site web. Dans l’idéal, visez un score SEO minimum de 70, voire 80% pour vraiment bien référencer votre url.

3.       Structurer son article avec les balises HN

Afin de produire du contenu pertinent du point de vue du SEO, vous devrez prêter une attention toute particulière à la structuration de votre contenu rédactionnel. Ainsi, chaque paragraphe devra être séparé par des titres eux-mêmes désignés par des balises HN.

Les balises HN sont simplement les balises du langage HTML définissant la présence de titres. Elles permettent de montrer à Google que le contenu du texte est structuré et bien en ordre. Pour cela, n’oubliez pas de bien hiérarchiser vos titres du H1 au H4. Nous rappelons que les balises hn ne sont pas là pour régler l’apparence de votre texte, mais bien sa hiérarchisation logique. Le langage HTML est là pour le fond tandis que le CSS est là pour la forme.

Dernier conseil, intégrez vos mots clés principaux (avec le plus de volume de recherche) aux balises HN. Ils auront ainsi plus de poids aux yeux de Google. Une bonne astuce si vous cherchez quels mots clés intégrer est d’analyser la SERP 1 de votre mot clé principal pour vous inspirer.

4.       Rédiger du contenu SEO friendly et pertinent pour votre audience

Cela va de soi, mais rédigez toujours un aussi contenu utile, correct du point de vue informationnel (surtout pour les articles à visée technique), qu’agréable à lire. Votre User Experience n’en sera que meilleure, Google améliorera votre référencement grâce à ses nouvelles métriques, et le taux de conversion et de confiance de vos prospects n’en seront qu’augmentés.

5.       Optimiser les zones chaudes (URL, title, meta description, alt des images, etc.)

Évidemment, ne négligez jamais les “zones chaudes”. Il s’agit de l’URL de la page, du title, de la meta description, de l’attribut alt text des images, ainsi que de la mise en gras des mots clés principaux par les balises <strong></strong>. L’URL et le title devront correspondre à la requête principale et donc, contenir un mot clé de courte traîne.

Pour aller plus loin dans la rédaction de contenu web

Nous avons vu ensemble l’importance du SEO et du SXO dans le référencement organique de votre page web. Écrire un article optimisé du point de vue du SEO et du copywriting ne s’improvise pas. Pour ce faire, il est important de choisir un bon rédacteur web avec de l’expérience.

Dans cet article, nous avons principalement vu comment optimiser le référencement d’un point de vue rédactionnel, mais il existe d’autres options très puissantes pour votre site web telles que le maillage interne et les backlinks provenant de sites web extérieurs. Nous vous invitons à prendre contact avec notre agence de communication près de Saint-Malo.

Réussir l’écoconception de son site web

Réussir l’écoconception de son site web

Vous êtes sur le point de créer le site Internet de votre entreprise ou de votre collectivité. Cependant, une question vous taraude et vous empêche de sauter le pas : comment créer un site web écologique ?

Le digital fait partie intégrante de la stratégie pour booster votre visibilité. Il n’est pas envisageable d’espérer se passer d’un site web. Mais où l’on ne peut pas non plus fermer les yeux c’est sur les impacts environnementaux du numérique ! Alors que l’écologie est au cœur des préoccupations de notre société et de notre Gouvernement, les sites web, eux, passent souvent à la trappe lorsque nous cherchons les domaines sur lesquels nous pourrions agir pour adopter un comportement numérique responsable.

Dans cet article, nous vous aidons à comprendre la loi REEN promulguée le 15 novembre 2021, visant à réduire l’empreinte environnementale du numérique en France. Le but est de tenir compte de ce texte de loi dans vos démarches afin de construire un site web durable, c’est-à-dire moins polluant et moins énergivore.

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Sommaire :

Qu’est-ce que le numérique responsable ?  

La loi REEN pour réduire l’empreinte environnementale du numérique

Les impacts environnementaux du numérique en quelques chiffres

Réussir l’écoconception de son site web : 5 points essentiels

  • Choisir un hébergement écoresponsable
  • Créer un site responsive
  • Compresser les contenus visuels et audiovisuels
  • Privilégier un codage sobre et efficace
  • Ne pas laisser les contenus s’accumuler

Bien s’entourer : faire appel à Colibri Communication

Qu’est-ce que le numérique responsable ?

Le numérique responsable est une approche qui permet de développer un site Internet avec une empreinte écologique moindre, tout en étant optimisé pour le web tant au niveau du contenu que de la performance.

Le but n’est pas de vous mettre des bâtons dans les roues, mais bien de faire du numérique responsable votre meilleur atout !

Opter pour l’écoconception web participe à la Responsabilité Sociétale des Entreprises. En effet, vous faites partie des acteurs majeurs de la transition numérique écologique. Alors, développer un site web durable et transparent, c’est vous engager à penser sa création afin qu’il profite à votre entreprise, tout en participant à la lutte contre le réchauffement climatique et l’épuisement des ressources.

La loi REEN pour réduire l’empreinte environnementale du numérique

Tandis qu’en 2019, le numérique était responsable de 2 % des émissions de gaz à effet de serre, (selon le Rapport d’Information sur l’empreinte environnementale numérique) on estime qu’il pourrait atteindre les 7 % d’ici 2040, soit un pourcentage supérieur à celui émis par le transport aérien qui s’élève actuellement à 4,7 %.

C’est pour lutter contre cette croissance aussi exponentielle que dangereuse que la loi promulguée le 15 novembre 2021 « vise à réduire l’empreinte environnementale du numérique en France ».

Loin d’être une option, l’écoconception web est désormais un véritable enjeu à prendre en compte sans plus tarder pour participer à la transition numérique écologique.

Les impacts environnementaux du numérique en quelques chiffres

Le collectif Green-IT mesure l’ampleur des dégâts causés par l’utilisation abusive du numérique et nous partage des chiffres alarmants.

En 2019, dans le monde, la fabrication et l’utilisation du numérique polluait autant que 180 millions de véhicules.

La fabrication des équipements est responsable, à elle seule, de 59 % à 84 % de l’empreinte écologique du digital.

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Réussir l’écoconception de son site web : 5 points essentiels

Notre but n’est pas de vous accabler, mais bien de vous accompagner dès lors que vous prenez l’initiative de lutter contre ce désastre écologique. Colibri communication comme Green-IT vous recommande de « réduire les besoins des services numériques via leur écoconception ».

Mais concrètement, comment s’y prendre ?

Développer un site web sans aucune compétence n’est pas envisageable. Alors, avant de vous lancer, nous vous recommandons fortement de vous former. Afin de répondre à vos besoins, Colibri Communication vous propose un catalogue de formations professionnelles pour vous apprendre à développer votre entreprise écoresponsable et à intégrer la Responsabilité Sociétale des Entreprises, un sujet qu’il est important de maîtriser dès lors que vous vous engagez dans une démarche durable.

En attendant le début de votre formation, voici sans plus attendre 5 points à prendre en compte pour créer un site web à faible impact environnemental :

1. Choisir un hébergement éco-responsable

Favoriser le circuit cours et les produit locaux, ça marche aussi sur Internet !

Alors, lorsque vous choisissez l’hébergeur de votre site, assurez-vous qu’il est localisé en France ou en Europe. Nous avons trop tendance à penser que le numérique ne pollue pas, simplement car il est majoritairement dématérialisé. Pourtant, les centres de données (aussi appelés « datacenters ») sont bel et bien essentiels à la maintenance de votre site.

Comme mentionné dans l’article 25 du texte de loi, il est impératif de « promouvoir des centres de données et des réseaux moins énergivores ». Il est donc crucial de vous assurer que ces derniers sont alimentés par des énergies renouvelables afin de réduire leur empreinte environnementale.

La loi REEN prévoit également « la récupération de chaleur des centres de données dans les plans climat-air-énergie (PCAET) élaborés par les EPCI » ainsi que « l’élaboration de stratégies numériques durables par les collectivités ».

Pour la dimension sociétale, privilégiez un service client disponible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et par téléphone qui pourra vous aider en cas d’urgence.

2. Créer un site responsive

Que l’on souhaite construire un site web durable ou non, ce paramètre est crucial. Si vos pages ne s’affichent pas sur tous types d’écrans ou émettent plus de 5 secondes à charger, il y a de fortes chances que les internautes ferment l’onglet et n’y retournent plus. Or, l’expérience utilisateur n’a jamais été aussi importante qu’aujourd’hui, car des dizaines de sites sont disponibles et prêts à prendre votre place.

3. Compresser les contenus visuels et audiovisuels

Pour le bien de vos affaires et de la planète, veillez à ne pas surcharger votre site et à adopter la politique du « simple et efficace ».

La tendance minimaliste est de plus en plus appréciée, et elle vous veut du bien ! Éviter les fonctionnalités gadgets vous permet de réduire la consommation d’énergie de votre site Internet jusqu’à 45 %.

Pour y parvenir, la compression gzip est votre meilleure alliée. Il vous suffit de l’activer afin de voir le temps de chargement de votre site baisser, parfois de manière spectaculaire.

Compresser les images et faire en sorte que la qualité des vidéos s’adapte aux appareils rend votre site plus performant tout en offrant un contenu de qualité et en réduisant votre empreinte carbone.

La rédaction web est également un point crucial à ne pas négliger. Réussir la qualité de contenu de votre site web écoresponsable vous permettra d’améliorer le référencement naturel (SEO). Offrez à votre site web la visibilité qu’il mérite !

4. Minimiser les code : privilégier la sobriété numérique

Chaque caractère compte, car chacun représente 1 octet. Plus l’expérience utilisateur est simple, plus le nombre de requête est réduit. En effet, lorsqu’un internaute navigue sur une page de votre site Internet, une requête HTTP ou  HTTPS est automatiquement envoyée au serveur web.

Si vous avez déjà un site, il y a fort à parier que le nombre de caractères présents et donc la rédaction web puisse être revu à la baisse. Vous l’aurez compris, la clef d’un site web durable n’est autre que la simplicité !

5. Ne pas laisser les contenus s’accumuler : faire le tri!

Votre site doit évoluer en même temps que votre entreprise. C’est pourquoi au moins deux fois par an, il est important de prendre le temps de faire le ménage et de retirer les contenus qui ne sont plus à jour.

S’il est primordial de proposer de la valeur ajoutée à votre audience, éviter à vos lecteurs de se perdre parmi vos centaines d’articles datés l’est tout autant ! N’oubliez jamais que le trop est l’ennemi du bien. La surinformation disponible sur Internet fait fuir plus qu’elle n’inspire confiance, alors évitez l’accumulation de données.

Ce point rejoint la question des centres de données : ne pas surcharger votre site participe à limiter leur consommation d’énergie.

Bien s’entourer : faire appel à Colibri Communication

Chez Colibri Communication, nous nous engageons à sensibiliser les utilisateurs du numérique à son impact environnemental. C’est pourquoi nous souhaitons vous aider à conjuguer réussite professionnelle et comportement écologiquement responsable

Écoconception de votre site, rédaction de contenu optimisé pour le web et stratégie de communication font partie des services que nous vous proposons pour un accompagnement aussi complet qu’efficace.

Alors,contactez-nous dès maintenant pour accomplir vos projets en accord avec vos valeurs et avec la loi REEN.

Nous sommes ravis de travailler avec vous et de participer au développement de votre activité.

Comment communiquer sur sa démarche RSE ?

Comment communiquer sur sa démarche RSE ?

La prise de conscience des problèmes environnementaux et sociétaux est en forte progression et témoignent de l’ampleur des événements que nous vivons. Elle place chacun : citoyen, salarié, consommateur, parent, chef d’entreprise, collectivité … devant les conséquences de ses actes et décisions notamment devant la question : “Que puis-je faire ?”. Notre modèle économique fondé sur une croissance potentiellement infinie est en pleine mutation, il montre ses faiblesses et menacent l’avenir de notre planète.

De plus en plus d’entreprises s’engagent dans une démarche développement durable et mettent en place des actions de communication RSE (responsabilité sociétale des entreprises).

Une fois mise en place comment communiquer sur sa démarche RSE ?

Le processus de mobilisation dans la démarche RSE

La démarche RSE prend racine dans votre mission : que fait votre entreprise, à quoi elle sert pour la société. Et votre vision durable : pourquoi votre entreprise fait ce qu’elle fait, vers quoi elle aspire pour la société. Le chef d’entreprise et de sa direction vont initier le processus. Les collaborateurs vont poursuivre cette mobilisation et permette qu’elle s’épanouisse..

Une croissance infinie dans un monde fini n’est plus possible

Le monde change rapidement et avec lui une nouvelle ère voit le jour. Vous le savez, le réchauffement climatique avec ses défis géopolitiques et sanitaires a commencé. Les rapports du GIEC sont alarmants. Les conséquences sont désastreuses au niveau environnemental avec la déforestation et son impact sur la biodiversité par exemple ; au niveau géopolitique avec les conflits sur les ressources naturelles et au niveau sociétal avec les mouvements migratoires intenses. L’agence Européenne pour l’environnement rassemble depuis 1994 les données de 32 pays et démontre les impacts croissants sur l’environnement. Une croissance infinie dans un monde fini n’est plus possible.

Des parties prenantes qui se mobilisent et qui se réinventent

La mobilisation des acteurs du développement durable s’accélère. La co-création d’un nouveau monde fondée sur l’équilibre des ressources naturelles, le partage, l’ouverture des cultures, la considération des différences des peuples, l’égalité femme-homme, la protection des richesses locales, le bonheur… L’article de l’AEE (agence Européenne pour l’environnement) propose plusieurs pistes à ce sujet. La conduite du changement est lancée et c’est collectivement que nous allons faire émerger les meilleurs idées pour agir rapidement et avec plus d’impact positif. L’émergence de nouveaux modèles se met en place.

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Instaurer une démarche RSE au sein de son entreprise ou de sa collectivité implique un réel engagement. Celui de prendre des mesures concrètes pour répondre aux enjeux sociétaux, environnementaux et économiques sur le long terme. Une dynamique va alors se mettre en place avec vos parties prenantes : collaborateurs, clients, fournisseurs, acteurs du territoire… C’est ainsi que les stratégies d’entreprises et politiques publiques évoluent en écoutant et répondre aux attentes durables et résilientes.

Pourquoi communiquer sur sa démarche Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) ?

En France, la communication est encadrée par différentes réglementations : la loi française (L 121-1 et suivants du Code de la consommation), la loi européenne, les recommandations de l’Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité (ARPP), la norme ISO 14021 et les avis du Conseil National de la Consommation (CNC).

Une fois mise en place et évaluée, il s’agit de faire connaître et de partager la démarche RSE, ses objectifs et les moyens mis en œuvre à tous les acteurs concernés. L’appropriation de la communication RSE par tous est d’autant plus simple qu’elle est exposée de manière transparente, accessible et cohérente. Communiquer sur sa démarche permet également de rassurer l’ensemble des collaborateurs sur le bienfondé du changement en mettant en avant les bénéfices et améliorations attendus. Les collaborateurs pourront ainsi mieux anticiper les évolutions et la transition sera facilitée.

Participer à résoudre les défis planétaires

La communication RSE est un vecteur essentiel. Elle contribue aux avancées positives et permet d’essaimer les bonnes pratiques pour accélérer la transition écologique. Comme tous les acteurs économiques, les entreprises font l’objet d’attentes croissantes de la part des consom’acteurs et subissent des pressions de plus en plus marquées sur leur façon d’exercer leur métier. Le greenwashing est dénoncé, mettant en exergue les nombreux produits et services présentés comme “écologiques”, “verts”, “propres” alors qu’il s’agit de produits et de services polluants (voitures, produits chimiques, dérivés du pétrole…) ou à faible impact écologique.

Sépanouir sur de nouveaux marchés

Une fois la démarche RSE impulsée et structurée, sa communication peut s’articuler au travers de formats très différents. En réfléchissant en amont au public visé et au format à privilégier, les retombées de cette démarche de communication seront plus vertueuses. En interne, une communication réussie favorisera l’adhésion et la compréhension. En externe, la valorisation de bonnes pratiques existantes et du plan d’actions pourra constituer un facteur de différentiation auprès de parties prenantes de plus en plus vigilantes sur ces critères.

Assurer la pérennité de l’entreprise

Une enquête menée par France Stratégie et réalisée sur un très large échantillon de plus de 8 500 entreprises a mis en exergue que les entreprises engagées dans des pratiques RSE sont en moyenne de 13 % plus performante que les autres. La question n’est donc plus de savoir si les entreprises qui initie une démarche RSE reste performante mais plutôt comment y parvenir et communiquer dessus.

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Comment communiquer sur ses engagements RSE ?

Vous avez mis en place des objectifs et des moyens pour faire évoluer et progresser votre entreprise vers une démarche RSE. Mais comment mettre en valeur ce pilier dans votre entreprise et faire rayonner vos engagements ? Colibri Communication vous donne quelques conseils pour communiquer sur votre impact positif à vos parties prenantes et à votre clientèle de manière authentique, raisonnée et efficace.

La communication responsable permet de mesurer et de suivre la réduction des impacts environnementaux, sociaux et sociétaux. Elle délivre un message clair mettant en avant les moyens que l’entreprise a mis en œuvre pour atteindre une amélioration continue de ses pratiques. La communication responsable privilégie la diffusion de ses messages sur des supports éco-conçus. Elle n’utilise pas les arguments écologiques pour falsifier les actions et refuse de faire la promotion de comportements qui impactent négativement l’Homme et l’Environnement.

La communication RSE est clé pour faire évoluer l’offre de produit et/ou service de l’entreprise, mais également mieux appréhender la demande des clients. A travers cette démarche responsable, c’est la cohérence votre raison d’être et les pratiques de l’entreprise qui se trouve renforcée. L’amélioration des pratiques permet également de faire émerger de nouvelles opportunités. La RSE est un facteur de différenciation et favorise le développement de relations de confiance avec vos clients, vos salariés, vos fournisseurs, mais aussi les collectivités territoriales ou les financeurs par exemple.

Le rapport RSE n’est pas que l’alfa et l’oméga de la communication responsable

En France, les lois Grenelle II de 2010 et Transition énergétique pour la croissance verte, obligent certaines entreprises à rédiger un rapport RSE. Il s’agit soit des entreprises cotées en bourse, avec un chiffre d’affaires supérieur à 100 millions d’euros soit des entreprises ayant une masse salariale supérieure à 500 employés. Ces obligations de transparence en matière de déclaration de performance extra-financier (DPEF) ont pour objectif de présenter les évolutions sociales, sociétales et environnementales du modèle économique de l’entreprise.

Le rapport RSE est de plus en plus souvent initié par les TPE et PME. « Bien souvent, les TPE n’en ont pas conscience qu’elles ont déjà initié une démarche RSE et ne la valorisent pas. La RSE des grandes entreprises se voit davantage car elles communiquent plus qu’une PME. » Michèle Meillac, Fondatrice de Colibri communication. Bénéfique pour la performance, la compétitivité et la notoriété ; la démarche développement durable est nécessaire pour accélérer la transition écologique, sociétale et économique.

Communiquer sur ses engagements RSE représente une volonté de transparence, véritable levier pour évoluer sur de nouveaux marchés. Le rapport RSE n’est pas que l’alfa et l’oméga de la communication responsable. Chaque entreprise peut commencer à tout moment à formaliser puis à communiquer sur ses engagements. Les actions liés à la démarche RSE s’inscrivent dans le temps. L’ensemble des critères et des bénéfices se mesurent chaque année.

Les informations à communiquer dans une démarche RSE

Les clients et investisseurs sont attentifs aux preuves d’authenticité sur les engagements des entreprises en matière de développement durable. La norme internationale ISO 26 000 relative à la responsabilité sociétale des organisations doit également contribuer à mettre en cohérence les engagements existantes par un discours plus clair et une relation renouvelée avec les parties prenantes.

Au niveau de l’entreprise, la communication responsable repose sur plusieurs grandes étapes :

  1. La préparation : Identifier et hiérarchiser ses enjeux
  2. Le déploiement : Mettre en place une organisation développement durable
  3. La mesure : Évaluer et retro agir
  4. Le reporting et la communication : Évaluer et retro agir

Au niveau de la conception des messages de communication et des modalités de production, il est important de raisonner à 360°. En choisissant les moyens de communication les plus efficaces mais aussi les plus performants sur les plans social, sociétal et environnemental. Il existe aujourd’hui de nombreux outils de communication éco-conçu comme des site internet, des impression sur papier recyclé, des éco événements…

Les informations à communiquer dans votre démarche RSE dépendront du niveau de maturité des actions de votre entreprise. Ces informations tournent autour de 7 critères principaux :

  1. La gouvernance
  2. La contribution au développement local
  3. Les droits de l’Homme
  4. Les relations et conditions de travail
  5. Les conditions de travail
  6. L’environnement
  7. Les bonnes pratiques dans les affaires
  8. La protection du consommateur

L’objectif est de mesurer et d’expliquer l’évolution des actions d’amélioration continue mis en place sur ces sept critères. Comme vous aurez en amont piloter un plan d’actions avec des indicateurs mesurables, il vous sera plus aisé de faire état des évolutions RSE. Lors du bilan du plan d’actions, il est intéressant d’en profiter pour échanger avec les parties prenantes, afin de déterminer des axes de progrès. C’est en instaurant ce cercle vertueux, où chaque action permet de faire une avancée supplémentaire, que le développement durable s’intégrera à votre ADN.

Pour aller plus loin, dans la réalisation un rapport RSE ; pour communiquer sur votre démarche RSE ou vous former, contactez Colibri Communication pour d’échanger sur votre projet.

Les 7 étapes pour créer son site web écoresponsable

Les 7 étapes pour créer son site web écoresponsable

Aujourd’hui, la place du digitale pour une entreprise est aujourd’hui capitale. Les nouveaux modèles économiques et les innovations font appel aux nouvelles technologies de l’information et de la communication. Pour facilité les interactions, les ventes (notamment pendant le confinement dû au COVID) et la fidélisation des clients, une entreprise se doit d’être présente sur internet. La création d’un site internet est le 1er outil qui se conçoit en différentes étapes. Il est primordial de bien réfléchir au processus de création afin de permettre une expérience utilisateur optimal (UX design) et de ne pas engendrer des coûts inutiles. Chaque étape est importante afin de suivre une ligne directrice tout au long de l’ écoconception du site web et d’atteindre vos objectifsColibri communication se tient à votre disposition pour vous aider à concevoir votre site internet et vous garantit un échange de qualité qui inclut la mise en place d’une stratégie digitale.

Pourquoi créer un site web écoresponsable?

Créer un site internet peut paraître superflu pour certaines personnes ou pour certains secteur d’activité. C’est cependant un des éléments les plus importants pour développer votre chiffre d‘affaires. En phase d’achat, votre client passe son temps par la phase de recherche sur internet pour choisir son prestataire. Un site internet est un outil qui sert à renforcer votre visibilité, l’image de votre entreprise mais aussi l’affirmation de votre place face à la concurrence. Il est donc aujourd’hui indispensable d’être présent sur le web. Le numérique responsable vise à réduire l’empreinte sociale, économique et environnementale du numérique. Il aborde donc les 3 piliers du développement durable : people, planet, profits (Guide d’un numérique plus responsable – ADEME).

Comment créer un site internet écoresponsable ?

1- Définir les objectifs

La première étape primordiale est de définir les objectifs de votre site. Pour la création de votre site internet, il est important de se poser les bonnes questions : Est-ce que cela va être un site vitrine ou e-commerce ? A-t-il pour but de développer votre notoriété ? De faire face à la concurrence ? De mettre en valeur votre équipe ? Votre savoir-faire ? Vos différentes prestations ? Et surtout de définir quelles sont les attentes de vos différentes cibles : Est-ce que ce sont des internautes ayant l’habitude de naviguer sur un site web ? Est-ce que ce sont des femmes ou des hommes ? Quelle problématique cherche t-il à résoudre ? Il est intéressant de créer des personas (profil de votre potentielle cible) afin de vous mettre dans la peau de votre cible et de savoir qu’est-ce que votre site internet doit refléter. A la suite de cette réflexion, un cahier des charges va se former et vous éclairer sur les objectifs de la création de votre site internet.

2- Définir une arborescence

La 2ème étape, est faite pour vous permettre de réfléchir à l’arborescence de votre site internet. Il ne faut pas faire des pages inutiles dont le contenu serait redondant. Notre règle d’or : en 3 clics votre futur client doit avoir trouver une réponse à ses attentes. Par exemple créer une page « qui-suis-je » alors que le contenu texte est assez faible et pourrait être placé sur la page d’accueil. De plus, plus il y aura de nombre de page, plus le tarif pourra être élevé. Au minimum le site internet comptera 4 pages : la page d’accueil, la page actualités, la page contact, et la page mentions légales qu’on a parfois tendance à oublier mais qui est obligatoire aux yeux de la CNIL ! La page actualités n’est pas obligatoire mais chez Colibri Communication nous vous conseillons de la créer et de l’alimenter pour faire vivre votre site web durablement, améliorer votre référencement naturel et générer plus de trafic sur votre site web. Par ailleurs, n’oubliez pas que les titres des pages du site donc de l’arborescence ont une incidence sur votre référencement naturel (SEO).

3- Faire une analyse sémantique pour le référencement naturel

 

C’est une étape incontournable à l’écoconception d’un site web ! L’analyse sémantique est une recherche, à partir de différents outils, qui vont vous aider à définir les mots clés que l’on va retrouver sur votre site et qui vont aussi impacter le SEO (référencement naturel). Pour ce faire, grâce à différents outils comme Semrush, Google Trends, l’extension Keyword Surfer, vous allez pouvoir définir quels sont les termes les plus recherchés par les internautes sur les moteurs de recherches et comparer les mots clés entre eux.

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Plus les mots clés sont cohérents et sont sur votre site, plus la position de votre site va paraître vers les premiers résultats lors de la recherche de ceux-ci sur les moteurs de recherches. C’est là que nous vous rappelons tout l’intérêt de publier des articles régulièrement, afin d’entretenir votre site et d’atteindre un meilleur référencement naturel. Durant cette étape, il est favorable d’étudier les sites concurrents afin de comprendre le succès de leur référencement et de potentiellement trouver une idée pour pouvoir se différencier d’eux.

4- Rédiger les contenus

Ensuite, vient l’étape indispensable lors de la création de votre site web : rédiger le contenu. L’agence de communication peut le faire pour vous mais généralement c’est votre expertise, vous-même savez mieux que quiconque les services et l’image que vous voulez dégager. Colibri communication vous conseille dans la rédaction des pages afin de les optimiser. Par ailleurs, il est préférable de choisir un vocabulaire ni trop technique, ni trop spécifique si vous voulez que votre cible vous comprenne. Il est important de rester objectif afin que vos textes parlent à votre audience. Vous pourrez aussi définir le ton que vous souhaitez utiliser avec vos internautes : est-ce que j’utilise le tutoiement et des exclamations afin de créer une proximité avec la cible ? Ou est-ce que je reste sur le vouvoiement et reste sur un ton formel ? Tout dépend de votre activité et de l’image de marque que vous voulez renvoyer.

5- Création d’une maquette d’un webdesign

Le webdesign de votre site va renforcer l’identité de marque de votre entreprise. Chez Colibri Communication nous vous proposerons une maquette faite sur Adobe XD, un logiciel spécialisé pour le webdesign. Nous vous invitons à suivre les couleurs de votre charte graphique si vous en avez une ou sinon rester en cohérence avec celles de votre logo. La maquette doit refléter votre image et affirmer votre crédibilité.

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Il peut être judicieux de s’inspirer sur des sites comme Pinterest, Dribble, Behance et faire un benshmark (étude concurrentielle) pour développer ses idées. Attention à ne pas vouloir en dire trop et à se retrouver avec d’énormes pavés de texte. Plus votre site sera sobre et allégé plus l’information paraîtra claire et pertinente pour votre cible. Par ailleurs, il ne faut pas non plus abuser des fonctionnalités ou au contraire de ne mettre aucun bouton d’action. En effet, l’UX design qu’on appelle aussi l’expérience utilisateur doit être simple. C’est-à-dire que lorsque l’internaute navigue sur votre site, il doit trouver les informations qu’il recherche facilement. On pourra ainsi dire que votre site est ergonomique. Il est aussi conseillé d’ajouter quelques illustrations (images ou vecteurs) afin de fluidifier la lecture et de rendre le site plus esthétique.

6- Éco-conception du site web et tests

Maintenant que vous avez tous les éléments en main, l’écoconception du site web peut commencer. Le but étant de reproduire la maquette en y intégrant le contenu texte, les illustrations, de rajouter quelques animations et de rendre les fonctionnalités interactives. On peut soit créer le site à l’aide d’un CMS (Costumer Management System) comme WordPress qui est en open source, ou développer un site seulement avec du code. Colibri Communication vous propose d’éco-concevoir votre site avec WordPress afin de vous faire prendre la main sur votre site en autonomie après la prestation. Faire des tests des différentes fonctionnalités est bien sûr indispensables afin de rendre le site fonctionnel et responsive (adaptable à toutes les tailles d’écrans). Le SEO (référencement naturel) sera mis en place afin que votre site soit bien référencé. Pour cela, nous devons référencer des mots clés un peu partout sur votre site (y compris sur les interfaces non visibles par l’internaute) et compresser au maximum la taille des images. Pour évaluer l’empreinte environnementale de votre site internet, nous paramétrons différents aspects techniques grâce au référentiel de pratiques d’écoconception web (Green IT). Votre site aura une meilleure performance et un bon résultat EcoIndex et Ecometer . Cela fait partie de la démarche d’éco-conception d’un site internet !

7- Mise en ligne

Il est maintenant temps de mettre votre site internet en ligne ! Il faudra ensuite attendre un petit moment afin que le site soit bien indexé sur les moteurs de recherches et le tour est joué ! Cette indexation peut-être accélérer grâce à Google search console. Bien sûr nous vous conseillons fortement d’entretenir votre site en publiant des articles afin d’améliorer le flux et le référencement de votre site.

Voici donc le résumé de comment créer site internet en 7 étapes ! Colibri Communication vous propose ses prestations de stratégies digitales et d’éco-conception de sites internet. Vous hésitez à sauter le pas ? Contactez-nous afin d’échanger sur votre projet !

Les atouts de la formation professionnelle

Les atouts de la formation professionnelle

La formation professionnelle présente de nombreux avantages. Elle vous permet aussi bien de développer vos compétences techniques appelées « hard skills » que vos compétences comportementales « soft skills ». En règle générale la formation améliore votre développement professionnel, votre compétitivité et le développement votre entreprise. La formation professionnelle est un investissement durable : les bénéfices sont perçus rapidement, de manière concrète et ont un impact sur le long terme.

Les bénéfices des formations pour votre entreprise

Développer son entreprise

En suivant des formations relatives aux besoins de son métier, on acquiert des compétences qui nous permettent de faire évoluer son entreprise. On peut élaborer un business plan sur la durée et innover en proposant du contenu ou des services nouveaux, qui s’adaptent avec les besoins de ses clients et leur demande. Cela garantie une fidélité de la clientèle, qui sent l’investissement de votre entreprise ainsi que votre détermination à vous actualiser sans cesse.

Enrichir ses connaissances et gagner en performance

Les formations permettent logiquement d’acquérir des nouvelles connaissances et compétences, qui vont surtout vous servir personnellement et servir votre entreprise dans sa performance. En étant qualifié, on est plus facilement productif, on est plus réactif et plus rapide dans la gestion globale. Acquérir un bagage de connaissance est essentiel pour se sentir soi-même capable, et pour gagner confiance en soi et son aptitude à exercer son métier correctement.

Dans les catalogues de formations, vous pouvez aussi bien vous former pour améliorer vos compétences techniques appelées hard skills, mais aussi vos compétences comportementales, ou soft skills. Il vous est donc permis de faire une mise à niveau générale de votre entreprise, mais surtout de choisir les points que vous pensez avoir besoin d’améliorer pour être plus performant. Il y a de quoi satisfaire tous les besoins.

Être autonome dans la gestion de son entreprise

Lorsque l’on créé une entreprise, on est sur tous les fronts, car on doit gérer tous les secteurs relatifs à celle-ci. De ce fait, il y a surement des domaines dans lesquels on possède moins de compétences, car notre bagage scolaire et professionnel ne nous a pas permis d’y être confronté. C’est pourquoi la formation est un outil intéressant, qui va vous permettre d’accéder à un contenu dont vous avez besoin mais qui vous était inaccessible auparavant. Cela vous permettra au final d’être totalement autonome sur la gestion de votre entreprise.

Suivre les évolutions de son secteur d’activité

Dans une société de la nouveauté, il est important de se tenir à la page des innovations et évolutions dans son domaine d’activité professionnelle, afin que ce que l’on propose ne soit pas vite obsolète. Comme on fait des mises à jour régulièrement sur ses appareils et logiciels, il est nécessaire de « mettre à jour » ses connaissances, pour continuer de s’imposer face aux concurrents.

Quelles formations choisir pour développer son entreprise ?

Comme expliqué précédemment, il existe un grand nombre de formations pour les entreprises, aussi bien axées sur les hard skills que sur les soft skills. Si vous souhaitez vous formez sur certains domaines dans le but de faire évoluer et développer votre entreprise, certaines formations paraissent essentielles à intégrer dans votre liste. Si vous souhaitez notamment diriger votre entreprise vers une démarche responsable, il faut vous familiariser avec les méthodes et démarches qui y sont attachées. Voici une sélection de formations qui proposent un contenu pertinent pour le développement d’une entreprise responsable :

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Intégrer la RSE à la stratégie d’entreprise

La démarche RSE est un point clé dans la démarche responsable d’une entreprise. En effet, bien qu’on pense souvent aux aspects environnementaux, éthiques et énergétiques, l’aspect social et humain prend aussi une part importante de la responsabilité. Pour intégrer cette démarche dans la stratégie de l’entreprise, on va travailler sur le système de reporting, et les formations vous permettrons d’apprendre à auditer la stratégie d’entreprise, mais aussi à co-construire et intégrer la démarche RSE, ainsi qu’à mesurer les indicateurs d’amélioration continue.

Les formations réseaux sociaux

Il est inévitable de devoir réfléchir à sa stratégie digitale pour voir son entreprise se développer, car la communication avec la clientèle s’y fait beaucoup plus facilement et rapidement. De plus, la recherche et l’accès à de futurs clients y est favorisée. Vous pouvez donc envisager des formations comme « réussir sa stratégie digitale responsable », qui vous aiguille sur la manière d’étendre sa visibilité sur les réseaux sociaux, sur comment élaborer une stratégie digitale Green IT, acquérir les leviers de conception responsable et maîtriser la valeur ajoutée de votre présence.

Mais vous pouvez aussi vous diriger vers des formations plus précises, comme celles abordant un réseau social particulier, et son fonctionnement. Ainsi, pour Facebook, il vous est permit d’apprendre à créer et enrichir une page Facebook pro, de développer une communauté et de bâtir une relation de confiance. Pour Instagram, on vous initie à connaître les opportunités pour votre entreprise, identifier et utiliser les fonctionnalités et à optimiser votre présence sur Instagram. La formation relative à Youtube vous aidera à créer et paramétrer votre chaine YouTube, à maîtriser la mise en ligne de vidéo et à appréhender la stratégie podcast, vidéocast. Enfin pour LindekIn, il s’agira surtout de découvrir comment créer sa page entreprise, intégrer le personal branding et développer le social selling.

Faciliter et déployer l’intelligence collective

Dans une entreprise où l’on veut placer l’humain et le relationnel au centre des choix, il semble capital d’apprendre à gérer le collectif. Vous pouvez par conséquent choisir de vous former sur l’intelligence collective, qui va favoriser l’harmonie et la coopération de toutes les parties prenantes de votre entreprise. Dans cette formation, on travail à développer les synergies grâce aux méthodes agiles, à co-créer un levier puissant et collaboratif et à placer l’humain et les relations au cœur de l’organisation.

Ecoconception d’un site web avec WordPress

Le site web est un outil indispensable pour réussir à développer son business. Lorsque l’on choisit d’intégrer une démarche responsable dans celui-ci, il faut aussi penser à revoir la manière dont on communique sur le digital, notamment les déchets que cela génère. En optimisant son site web de manière plus écoresponsable, on gagne en crédibilité auprès de la clientèle et des concurrents, et l’on montre que l’on possède les connaissances nécessaires aux changements que l’on revendique. Vous pourrez ainsi apprendre à concevoir un site web en autonomie, les fondamentaux de WordPress et l’optimisation et référencement naturel SEO.

Quelles prises en charge possible pour les formations ?

Afin d’aider les entreprises à se former sans se ruiner et surtout permettre à n’importe quel business d’accéder au contenu, sans conditions, plusieurs systèmes d’aides sont mis en place. Voici un petit guide pour vous éclairer sur les disponibilités.

Formation_Formation éco responsable_Centre de formation_Formation professionnelle_Saint Malo_Rennes_Dinard_evolution professionnelle_Reconversion professionnelle_learning_formation à distance_Formation prise en charge OPCO_CPF

Les OPCO

Les OPCO, ou opérateurs de compétences « ont pour missions de financer l’apprentissage, d’aider les branches à construire les certifications professionnelles et d’accompagner les PME pour définir leurs besoins en formation. » . Chaque opérateur est rattaché à une branche, un domaine professionnel. Il vous faut donc vous renseigner sur lequel est compétent pour le vôtre. Un fois rattaché à cet opérateur, il vous sera plus facile d’accéder à des formations et de bénéficier d’une aide pour la financer. Pour chaque formation qui souhaiterez effectuer, il faudra faire une demande auprès de l’opérateur et attendre la validation ou non pour un remboursement partiel ou total.

Le FNE Formation renforcée

Cette aide de l’état mise en place à la suite de la crise du Covid-19 permet à toutes les entreprises impactées par la crise sanitaire de développer des compétences. Toutes les formations sont concernées par cette aide, tant qu’elles sont dans un parcours de formation structuré. Selon la taille de votre entreprise ainsi que sa situation, l’aide permet de rembourser 40 à 100% des coûts de la formation. Renseignez-vous auprès des organismes de formations ou sur le site du gouvernement.

Qu’est-ce qu’une entreprise écoresponsable?

Qu’est-ce qu’une entreprise écoresponsable?

Une entreprise écoresponsable se construit sur un modèle durable avec pour mission de limiter son empreinte écologique et environnementale. Au delà de répondre à un vrai besoin, elle a pour volonté d’agir en faveur du développement durable et réfléchie à ses actions et prises de décisions comme une globalité pour un monde plus résilient. Comme l’ADEME, l’Agence de la transition écologique le définit, c’est l’ensemble des activités d’une entreprise écoresponsable doit « prévenir, réduire ou mesurer les atteintes des activités humaines à l’environnement ».

Les entreprises écoresponsables se basent donc sur une démarche de Responsabilité Sociétales des Entreprises (RSE), et agissent à différents niveaux pour améliorer de façon continue leurs actions.

La consommation énergétique :

On retrouve d’abord la consommation énergétique de l’entreprise, pour laquelle l’entreprise peut réfléchir aux différents moyens de moins consommer, mais aussi de mieux consommer, en faisant attention au choix du fournisseur d’électricité, en choisissant des équipements peu énergivores, que ce soit le matériel informatique, l’électro-ménager, les types d’éclairages et d’isolation. La consommation d’eau va de pair avec la consommation électrique et est un autre point important pour l’éco-responsabilité des entreprises.

L’impact carbone :

Il y a également l’impact carbone, qui peut être contrôlé en favorisant les transports verts, comme les innovations électriques, le vélo, les transports en commun, mais aussi en étant conscient de l’impact de ses achats. C’est pourquoi les entreprises écoresponsables favorisent l’économie circulaire en choisissant les circuits courts, le local, mais aussi la seconde main ou les matériaux recyclés, qui peuvent être initiée dans le choix des meubles de bureaux. L’impact carbone d’une entreprise évolue également selon son impact numérique.

Le numérique responsable :

Aujourd’hui, l’activité numérique est l’une des plus génératrice en terme de gaz à effets de serre, c’est pourquoi les entreprises écoresponsables vont adopter des gestes simples comme le tri des mails ou le choix d’un site internet éco-conçu. En parlant de gestes simples, il est évident qu’une entreprise visant un impact positif doit être engagée dans la gestion des déchets physiques. Pour se faire, elle peut veiller au tri sélectif, au recyclage, et surtout chercher à produire le moins de déchet possible, car le meilleur déchet est celui qui n’existe pas.

Le sociétal et l’Humain :

Mais l’éco-responsabilité ne s’arrête pas là. En effet dans le RSE, la notion sociale et humaine occupe une grande partie, lorsque que l’on veut avoir un impact positif sur la planète, il est illogique de négliger l’humain. De ce fait, une part importante des décisions prises par les entreprises vise à favoriser le bien-être au travail, tout en mettant un point d’honneur sur le choix des collaborateurs et des fournisseurs, qui doivent d’une part porter les mêmes valeurs et de l’autre travailler dans des conditions décentes et être rémunérés à juste titre.

Dans sa finalité, l’entreprise écoresponsable est force d’innovation et d’amélioration pour véhiculer des valeurs positives, et générer un impact moindre sur l’environnement. Par ses actions, elle sensibilise les acteurs qui l’entoure, que ce soit des concurrents, collaborateurs ou clients, et tend à faire passer un message d’engagement pour la durabilité.

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Six étapes de l’idée à la création de valeurs ajoutées :

Afin d’assurer de la viabilité de son projet, il est nécessaire de réfléchir méticuleusement à la création de son entreprise écoresponsable. Même si l’envie, la passion et la volonté d’agir vous anime, il est impératif de s’attarder sur ces différents points.

Déployer un business model vertueux

Le business model est le point de départ pour passer de l’idée à la création d’un business à impact positif. Le business vertueux doit reposer sur une idée originale, innovante, répondre à un besoin réel afin de pouvoir se démarquer et surtout avoir pour finalité d’apporter au monde une réponse durable pour l’Homme, l’Environnement et la Société. Le business model vertueux est la manière la plus sécuritaire d’assurer la viabilité financière de son activité. Pour se faire, il faut d’abord réaliser une étude du marché, afin de pouvoir définir les besoins, une cible et un positionnement. Sans un business model vertueux bien défini, le risque est que l’activité ne soit pas viable ou que vous fassiez du greenwashing. Il sert également à présenter son projet aux différentes parties prenantes : la presse, les collectivités publiques, les futures partenaires et investisseurs de manière claire afin qu’ils comprennent les atouts de votre démarche.

Incarner des valeurs éthiques et authentiques

Le pilier du business écoresponsable est de faire bouger les lignes de notre société pour avoir un monde plus respectueux de nos ressources naturelles et des espèces qui peuplent notre planète. Et pour expliquer votre démarche la communication doit refléter vos valeurs éthiques, durables et environnementales. Il faut être conscient des valeurs que vous souhaitez véhiculer et les mettre en avant en communicant, car elles sont un atout et fonde le cœur de votre projet, qui trouvera son public grâce à son authenticité.

Identifier et intégrer les parties prenantes

L’objectif est d’instaurer un dialogue avec les parties prenantes de l’entreprise ou de l’organisation pour progresser ensemble et créer de la richesse sur votre territoire. Dans un premier temps, il importe de lister les acteurs de votre projet, qu’ils soient internes (salariés, dirigeants, investisseurs…) ou externes (clients, fournisseurs, collectivités, associations…). S’entourer des bonnes personnes et l’une des clés pour qu’un projet réussisse. Puis formaliser les actions créatrices de richesses locale et/ou nationale.

Piloter une stratégie au service de la performance économique, sociétale et environnementale

Même si votre business écoresponsable se construit sur une démarche respectueuse de l’Homme et de l’Environnement, il n’en reste pas moins plus performant. Plus la démarche RSE (responsabilité sociétale des entreprises) est intégrée dans la stratégie, plus l’écart de performance globale est grand. En effet, d’après une étude du Boston consulting group l’écart montre que les entreprises qui intègrent la RSE à leur stratégie sont 13% plus performantes que les entreprises qui ne le font pas. Le modèle « entreprise éco-responsable » permet d’actionner de multiples leviers pour progresser :

  • Préserver la diversité des espèces & les ressources naturelles et énergétiques.
  • Satisfaire les besoins en santé, éducation, habitat, emploi, prévention de l’exclusion, équité.
  • Créer des richesses et améliorer les conditions de vie matérielle.

Cet engagement est de plus en plus attendu et même exigé par les clients et les directions des achats, les banquiers et assureurs, les pouvoir publics, le grand public et les salariés.

Créer de la valeur et la partager

L’ISO 26000 (norme de la Responsabilité sociétale des entreprises) s’appuie sur les parties prenantes : « La responsabilité d’une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et activités sur la société et sur l’environnement, se traduisant par un comportement éthique et transparent qui : contribue au développement durable, y compris à la santé et au bien-être de la société ; prend en compte les attentes des parties prenantes ; respecte les lois en vigueur tout en étant en cohérence avec les normes internationales de comportement ; est intégré dans l’ensemble de l’organisation et mis en œuvre dans ses relations » (NF ISO 26 000, 2010).

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Du fait de leur ADN, les entreprises écoresponsables sont capables d’incarner des «bénéfices » sociaux et environnementaux dans leur quotidien au travers leurs produits et/ou services. Même si le marché du made in France, du Bio, des services, de l’innovation verte a le vent en poupe pour être authentique et durable, il est impératif de créer de la valeur et d’incarner à tout point de vue la démarche RSE autour de votre produit ou service et au sein de votre entreprise. L’étape suivant consiste à communiquer et partager la démarche écoresponsable, notamment en collaborant avec d’autres structures, et essaimant vos pratiques et en échangeant pour sensibiliser à vos actions.

Progresser dans ces pratiques écoresponsables

Si vous êtes une entreprise déjà installée depuis un certain temps et que vous souhaitez petit à petit vous tourner vers des pratiques plus responsable pour la planète et l’humain, voici quelques pistes vers pour commencer cette transition. Le but de ces améliorations étant de limiter l’impact sur l’environnement, de consommer moins ou mieux.

Repenser sa consommation énergétique :

Nombreux sont ceux qui pratiques déjà ces petits gestes au quotidien comme réduire la consommation électrique, numérique, d’eau, et de chauffage. On peut par exemple, éteindre les éclairages superflus et le matériel électronique en fin de journée, privilégier les appels téléphoniques aux mails et baisser le chauffage. Cela permet d’une part de consommer moins d’énergie, mais aussi de faire des économies sur ses factures. Vous pourrez ensuite vous diriger vers des changements plus impactants, comme les choix de fournisseurs d’énergie verte, de matériaux et d’équipements biosourcés…

Apprendre à restreindre sa consommation de fournitures :

Dans les entreprises, il va de soi que les fournitures de bureaux de type papier, encre et matériel bureautique sont indispensables, mais des gestes simples peuvent être initiés. D’abord, imprimer seulement lorsque cela est réellement nécessaire, imprimé en noir et blanc, en recto-verso et privilégier les échanges en face à face ou quelques supports numériques pour communiquer, notamment lorsqu’il s’agit de communication interne.

Penser à l’économie circulaire :

L’économie circulaire représente un nouveau modèle économique systémique. La notion d’économie responsable vise à se concentrer sur l’usage et la fonctionnalité. Concrètement, jetez le moins possible et préférez : réparer, recycler et faire usage des compétences, produits ou services de personnes dans un circuit court. Pour la notion de recyclage, on peut d’abord penser aux bacs à tri, et surtout stopper l’utilisation d’objets à usage unique (gobelet, vaisselle, bouteilles d’eau), en mettant en place des fontaines à eau et de la vaisselle lavable. Si un équipement est en panne, réfléchir à le réparer plutôt que de la remplacer, en faisant appel à des experts qualifiés. Il est important de faire marcher l’économie locale en choisissant des entreprises ou associations proches de chez nous, ce qui limite les déplacements et donc les émissions de carbone.

Les émissions de carbone :

Le choix du transport peut facilement être amélioré, notamment en utilisant les transports en communs, le vélo, la marche et les trottinettes. Si la voiture est indispensable, pourquoi ne pas penser au covoiturage ? Pour ce qui est des émissions liées aux achats, consommer local semble encore être la meilleure solution, avec des modes de consommations alternatives comme la seconde main ou la récupération. On peut envisager également l’intégration de plats végétariens dans le self de l’entreprise, s’il en possède un.

L’aspect de bien-être au travail :

Pour terminer, vous pouvez discuter des solutions à mettre en place inhérentes au bien-être des salariés au sein de votre entreprise. En organisant des réunions, des questionnaires et en favorisant la communication, des modifications pourront surement être apportées, notamment au niveau de l’espace de travail, de l’équipements, de l’organisation, des services proposés par l’entreprise ou bien de l’ambiance de travail.