Les alternatives à Google Analytics pour être conforme à la CNIL

Les alternatives à Google Analytics pour être conforme à la CNIL

Google Analytics interdit par la CNIL 

Dans une société digitalisée, les données sont omniprésentes et parfois même source de trafique (reventes sans respect du RGPD). Si celles-ci sont bien gérées et sécurisées, elles permettent aux entreprises d’être plus efficientes et plus compétitives. Dès lors, disposer de données sur son site web permet d’améliorer l’expérience utilisateur et de gagner en visibilité.

Les sites web constituent le cœur de la présence digitale d’une entreprise. En effet, ils sont la vitrine digitale d’une organisation permettant de mettre en avant sa mission, ses produits et services. Il est donc important d’analyser les données récoltées avant de faire évoluer la stratégie digitale. Cela permettra d’avoir un site plus performant et de mieux comprendre vos utilisateurs. 

Cookies et données personnelles

Lorsqu’un internaute navigue sur un site internet, ses données sont enregistrées, grâce au navigateur qui stocke les “cookies”. Ainsi, les outils d’analyse permettent de mieux identifier le comportement des internautes afin de proposer du contenu plus personnalisé. Étant un outil gratuit et très puissant, Google Analytics est devenu indispensable aujourd’hui pour bon nombre d’entreprises. Il permet de collecter et d’analyser des données relatives au trafic et à l’activité d’un site internet. Ensuite, ces données collectées serviront à faire évoluer votre stratégie digitale. 

Néanmoins, la légalité de Google Analytics a été remise en cause début 2022 par la CNIL, obligeant à se tourner vers d’autres alternatives européennes respectueuses du RGPD (Règlement sur la Protection des Données). Dans ces conditions, cette décision pose des problèmes juridiques aux entreprises qui doivent s’adapter.

RGPD : Régulation du numérique en Europe et en France

Face à la digitalisation de notre société, de nombreuses régulations ont vu le jour en Europe et en France comme le RGPD. Entré en application en 2018, le RGPD, Règlement Général pour la Protection des Données, est une régulation européenne qui aide les entreprises à protéger les données collectées.

Qui est concerné par la RGPD?

Tout organisme, quel que soit sa taille, son pays d’implantation et son activité, peut être concernéAinsi, est concerné tout organisme public ou privé traitant des données personnelles dans l’Union Européennes et si l’activité cible des résidents européens (par exemple : un site e-commerce d’une entreprise établie en Chine qui propose des produits livrés en France doit respecter le RGPD).

La CNIL : Autorité indépendante de l’état qui régule les données personnelles en France

La CNIL réaffirme que « le contexte juridique s’adapte pour suivre les évolutions des technologies et de nos sociétés » depuis la publication du guide pour les TPE et PME. Cela concerne l’utilisation accrue du numérique, le développement du e-commerce, la relation client, les informations confidentielles de vos collaborateurs, le recrutement…

En France, c’est la CNILCommission Nationale de l’Informatique et des Libertés, qui joue le rôle de régulateur des données personnelles.

Données personnelles à sécuriser

Les données personnelles désignent toute information se rapportant à une personne physique identifiée ou identifiable. Ces informations peuvent concerner l’adresse postale, l’adresse mail, le numéro de téléphone, la date de naissance, les abonnements à un magazine, un numéro client…

Il est possible de collecter ces données mais leur traitement doit avoir un objectif légal et légitime qui dépendra de votre activité professionnelle. 

La CNIL veille au respect du RGPD. Ce règlement incite à plus de transparence avec les clients, salariés, prospects, fournisseurs.

Il comporte plusieurs avantages : 

  • Renforce la confiance 
  • Gagner en efficacité et en productivité
  • Meilleure gestion de votre entreprise 
  • Améliorer la sécurité des données de l’entreprise (se développer sereinement)
  • Rassurer vos clients et développer votre activité 
Protection des données personnelles_ RGPD_CNIL-Google Analytics_Agence de communication responsable-Web marketing_agence digitale_Google Analytics interdit par la CNIL

C’est quoi exactement Google Analytics ?

Nous définirons Google Analytics comme étant un outil d’analyse des données des sites web. C’est-à-dire qu’il permet, de disposer d’un suivi statistique de l’activité d’un site, génère des statistiques et analyse le comportement des internautes. 

Données qui étaient disponibles sur Google Analytics

  • La perte de trafic, 
  • Le nombre de sessions et de visites sur votre site, 
  • La durée moyenne de passage des visiteurs du site, 
  • Les raisons de la baisse de trafic, 
  • Le parcours de l’utilisateur sur le site web,
  • L’endroit où on perd les utilisateurs,
  • De quelle région du monde vient l’internaute… 

Analyser un site avec Google Analytics permettait :

  • d’avoir une vue globale des indicateurs,
  • de mieux comprendre ce qui est performant,
  • de voir ce qui peut être amélioré,
  • d’obtenir un aperçu de l’état du site, 
  • d’améliorer le référencement naturel SEO, 
  • de disposer de statistiques de fréquentation d’un site web,
  • de voir où vont les internautes après être allé sur la page d’accueil,
  • de connaître le taux de sortie.
Anonymisation des données personnelles_RGPD_Pas de transfert des données hors de l'Union Européenne_digital agency

En somme, toutes ces données permettent d’adapter régulièrement votre site et votre stratégie digitale. Ainsi, cet outil a donc tout pour plaire, mais son utilisation est désormais compromise. 

Utilisation de Google Analytics remise en question par la CNIL

Depuis février 2022, la légalité de Google Analytics est remise en question en Europe. En effet, des mises en demeure ont été envoyées par la CNIL contre des sites web français utilisant Google Analytics. En raison du transfert de données vers les Etats-Unis,  la CNIL a affirmé que l’usage de Google Analytics constituait une violation du RGPD. Par ailleurs, l’Autriche, la France et l’Italie ont jugé illégale l’utilisation de Google Analytics.  

Dès lors, il devient impossible d’utiliser cet outil. En effet, le 23 juin 2022, des plaintes ont par exemple été déposées auprès de la CNIL contre 42 médias pour utilisation illégale de l’outil américain.

Que reproche la CNIL à Google Analytics?

La CNIL juge illégaux les transferts de données vers les Etats-Unis. Elle impose aux gestionnaires de site web français de se conformer au RGPD et de ne plus utiliser cet outil.

Pour utiliser Google Analytics, il est nécessaire de s’inscrire et l’identifiant unique attribué aux visiteurs et les données associées sont transférés par Google aux Etats-Unis. De plus, la CNIL affirme qu’il n’est pas possible de paramétrer Google Analytics afin d’éviter le transfert de données hors de l’Union européenne.

Quelles solutions restent-ils pour être conforme au RGPD ? 

Paramétrer Google Analytics est-il insuffisant?

Selon la CNIL, « la simple modification du paramétrage de Google Analytics n’est pas suffisante pour être en conformité avec le RGPD« . En effet, il semble que la modification du paramétrage des conditions de traitement de l’adresse IP ne suffit pas car les données continuent d’être transférées aux Etats-Unis.

Solution complexe : utilisation d’un proxys

La CNIL propose une solution opérationnelle : l’utilisation d’un proxy ou serveur mandataire pour rompre le lien direct entre le terminal de l’internaute et les serveurs de Google. Pour ce faire, la CNIL a listé les mesures nécessaires à la mise en place d’un proxy qui demeurent complexes et coûteuses.

Changer d’outil web analytics, trouver une alternative responsable

Il existe de nombreuses alternatives à Google Analytics. La CNIL invite à se tourner vers d’autres solutions qui ne transfèrent pas les données personnelles en dehors de l’Union européenne. Ainsi, l’autorité française a mis à disposition une FAQ sur l’utilisation de Google Analytics ainsi qu’une liste d’outils alternatifs. On vous en donne quelques-uns juste en dessous :

Abla Analytics

Abla est un outil de mesure d’audience de sites internet respectant le RGPD et les recommandations de la CNIL. Les données sont anonymisées et hébergées en France chez OVH et Scaleway. De plus, cet outil est compatible avec les CMS comme WordPressWooCommerce …

Il offre une utilisation simple et une interface de qualité. De plus, cet outil est 100% made in France, développé par la start-up Marseillaise Astra Porta.

Il est possible de tester Abla gratuitement pendant 30 jours. Vous disposez d’un quota gratuit de 5.000 pages vues mensuelles. Au-delà, vous serez facturé à partir de 6€ HT /mois en fonction de votre trafic.

Matomo (ex Piwik)

Créé par un Français, le siège social de Matomo est situé en Nouvelle-Zélande. Matomo signifie “honnêteté” en japonais. Il s’agit d’un des outils les plus utilisés après Google Analytics. Vos données sont enregistrées sur votre propre serveur et sont donc protégées car vous en gardez le contrôle. 

Cet outil open source est gratuit et simple à installer. Toutefois, les fonctions de Matomo sont moins détaillées et moins précises que Google Analytics mais il est possible d’ajouter des plugins. Ces fonctionnalités sont payantes comme par exemple l’activité Log à 29 euros par an, WooCommerce Analytics à 39 euros par an… Donc cela peut vite coûter cher si on veut plus de fonctionnalités.

Autres outils de mesure d’audience présentés par la CNIL :

Analytics Suite Delta de AT Internet 

Outil français.

SmartProfile Net Solution Partner

Outil français. Les tarifs varient entre 50 et 950 euros.

Piwik Pro Analytics Suite

Outil polonais. Devis personnalisé.

Thank-you Analytics

Outil français. Demande de demo possible. 

Wizaly

Outil français. Demande de demo possible. 

Eulerian

Outil français. Version gratuite (analyse parcours client) et pro à 2900 euros par mois

Tableau comparatif Web Marketing Data Analyse Google Analytics

Les plugins WordPress aussi impactés 

Les plugins de web analyse sont aussi impactés par la décision de la CNIL. En effet, de nombreux outils sont liés à Google Analytics remettant en cause leur utilisation. Il existe des alternatives qui sont conformes au RGPD et sont simples d’utilisation comme par exemple :

Independent alternative

Plugin conforme au RGPD téléchargeable sur WordPress. Cet outil est une bonne alternative à Google Analytics et est fait exclusivement pour WordPress. Le tableau de bord semble simple d’utilisation.

Clicky by Yoast

Plugin conforme au RGPD téléchargeable sur WordPress.  Il a été créé par Yoast qui a des produits pour le SEO, bien connus sur WordPress et que vous utilisez peut être déjà. De plus, ses fonctionnalités font de cet outil une bonne alternative à Google Analytics (qui existe depuis presque aussi longtemps). Clicky propose : 

  • Un suivi simple des liens sortants 
  • Des cartes thermiques 
  • Un aperçu du trafic en direct 
  • Calcul du taux de rebond

Jetpack WordPress.com Stats :

Plugin téléchargeable sur WordPress. C’est un bon plugin si vous n’avez pas besoin d’analyses très détaillées et que vous voulez un aperçu de ce qui se passe sur votre site. 

En résumé, ce plugin permet d’améliorer la sécurité, les performances et la croissance de votre site. De plus, plusieurs outils gratuits disponibles et possibilités d’acheter d’autres outils pour plus de fonctionnalités (pour 4.95 à 9.95 dollars par mois)

Un mot pour la fin …

Il est important de suivre régulièrement l’actualité du numérique qui évolue constamment et la CNIL peut être amenée à apporter de nouvelles obligations et à interdire certains outils. 

Ainsi, choisissez votre outil web analytic en fonction de vos besoins et selon les fonctionnalités proposées. De plus, n’oubliez de vérifier si les plugins utilisés sur vos sites WordPress sont liés ou non à Google Analytics. Dès lors, il vaut mieux opter pour une entreprise française ou européenne qui offre une utilisation simple et des services similaires à ceux de Google Analytics. Et, le plus important reste bien sûr de s’assurer que cet outil est accepté par la CNIL et respecte le RGPD. Pour ce faire, vérifiez sur le site de chacun des outils ou consultez la liste fournie par la CNIL.

Enfin, n’hésitez pas à faire appel à nos consultants pour vous mieux appréhender les enjeux RGPD, SEO afin de gagner en visibilité dans une démarche responsable. 

Les atouts de la formation professionnelle

Les atouts de la formation professionnelle

La formation professionnelle présente de nombreux avantages. Elle vous permet aussi bien de développer vos compétences techniques appelées « hard skills » que vos compétences comportementales « soft skills ». En règle générale la formation améliore votre développement professionnel, votre compétitivité et le développement votre entreprise. La formation professionnelle est un investissement durable : les bénéfices sont perçus rapidement, de manière concrète et ont un impact sur le long terme.

Les bénéfices des formations pour votre entreprise

Développer son entreprise

En suivant des formations relatives aux besoins de son métier, on acquiert des compétences qui nous permettent de faire évoluer son entreprise. On peut élaborer un business plan sur la durée et innover en proposant du contenu ou des services nouveaux, qui s’adaptent avec les besoins de ses clients et leur demande. Cela garantie une fidélité de la clientèle, qui sent l’investissement de votre entreprise ainsi que votre détermination à vous actualiser sans cesse.

Enrichir ses connaissances et gagner en performance

Les formations permettent logiquement d’acquérir des nouvelles connaissances et compétences, qui vont surtout vous servir personnellement et servir votre entreprise dans sa performance. En étant qualifié, on est plus facilement productif, on est plus réactif et plus rapide dans la gestion globale. Acquérir un bagage de connaissance est essentiel pour se sentir soi-même capable, et pour gagner confiance en soi et son aptitude à exercer son métier correctement.

Dans les catalogues de formations, vous pouvez aussi bien vous former pour améliorer vos compétences techniques appelées hard skills, mais aussi vos compétences comportementales, ou soft skills. Il vous est donc permis de faire une mise à niveau générale de votre entreprise, mais surtout de choisir les points que vous pensez avoir besoin d’améliorer pour être plus performant. Il y a de quoi satisfaire tous les besoins.

Être autonome dans la gestion de son entreprise

Lorsque l’on créé une entreprise, on est sur tous les fronts, car on doit gérer tous les secteurs relatifs à celle-ci. De ce fait, il y a surement des domaines dans lesquels on possède moins de compétences, car notre bagage scolaire et professionnel ne nous a pas permis d’y être confronté. C’est pourquoi la formation est un outil intéressant, qui va vous permettre d’accéder à un contenu dont vous avez besoin mais qui vous était inaccessible auparavant. Cela vous permettra au final d’être totalement autonome sur la gestion de votre entreprise.

Suivre les évolutions de son secteur d’activité

Dans une société de la nouveauté, il est important de se tenir à la page des innovations et évolutions dans son domaine d’activité professionnelle, afin que ce que l’on propose ne soit pas vite obsolète. Comme on fait des mises à jour régulièrement sur ses appareils et logiciels, il est nécessaire de « mettre à jour » ses connaissances, pour continuer de s’imposer face aux concurrents.

Quelles formations choisir pour développer son entreprise ?

Comme expliqué précédemment, il existe un grand nombre de formations pour les entreprises, aussi bien axées sur les hard skills que sur les soft skills. Si vous souhaitez vous formez sur certains domaines dans le but de faire évoluer et développer votre entreprise, certaines formations paraissent essentielles à intégrer dans votre liste. Si vous souhaitez notamment diriger votre entreprise vers une démarche responsable, il faut vous familiariser avec les méthodes et démarches qui y sont attachées. Voici une sélection de formations qui proposent un contenu pertinent pour le développement d’une entreprise responsable :

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Intégrer la RSE à la stratégie d’entreprise

La démarche RSE est un point clé dans la démarche responsable d’une entreprise. En effet, bien qu’on pense souvent aux aspects environnementaux, éthiques et énergétiques, l’aspect social et humain prend aussi une part importante de la responsabilité. Pour intégrer cette démarche dans la stratégie de l’entreprise, on va travailler sur le système de reporting, et les formations vous permettrons d’apprendre à auditer la stratégie d’entreprise, mais aussi à co-construire et intégrer la démarche RSE, ainsi qu’à mesurer les indicateurs d’amélioration continue.

Les formations réseaux sociaux

Il est inévitable de devoir réfléchir à sa stratégie digitale pour voir son entreprise se développer, car la communication avec la clientèle s’y fait beaucoup plus facilement et rapidement. De plus, la recherche et l’accès à de futurs clients y est favorisée. Vous pouvez donc envisager des formations comme « réussir sa stratégie digitale responsable », qui vous aiguille sur la manière d’étendre sa visibilité sur les réseaux sociaux, sur comment élaborer une stratégie digitale Green IT, acquérir les leviers de conception responsable et maîtriser la valeur ajoutée de votre présence.

Mais vous pouvez aussi vous diriger vers des formations plus précises, comme celles abordant un réseau social particulier, et son fonctionnement. Ainsi, pour Facebook, il vous est permit d’apprendre à créer et enrichir une page Facebook pro, de développer une communauté et de bâtir une relation de confiance. Pour Instagram, on vous initie à connaître les opportunités pour votre entreprise, identifier et utiliser les fonctionnalités et à optimiser votre présence sur Instagram. La formation relative à Youtube vous aidera à créer et paramétrer votre chaine YouTube, à maîtriser la mise en ligne de vidéo et à appréhender la stratégie podcast, vidéocast. Enfin pour LindekIn, il s’agira surtout de découvrir comment créer sa page entreprise, intégrer le personal branding et développer le social selling.

Faciliter et déployer l’intelligence collective

Dans une entreprise où l’on veut placer l’humain et le relationnel au centre des choix, il semble capital d’apprendre à gérer le collectif. Vous pouvez par conséquent choisir de vous former sur l’intelligence collective, qui va favoriser l’harmonie et la coopération de toutes les parties prenantes de votre entreprise. Dans cette formation, on travail à développer les synergies grâce aux méthodes agiles, à co-créer un levier puissant et collaboratif et à placer l’humain et les relations au cœur de l’organisation.

Ecoconception d’un site web avec WordPress

Le site web est un outil indispensable pour réussir à développer son business. Lorsque l’on choisit d’intégrer une démarche responsable dans celui-ci, il faut aussi penser à revoir la manière dont on communique sur le digital, notamment les déchets que cela génère. En optimisant son site web de manière plus écoresponsable, on gagne en crédibilité auprès de la clientèle et des concurrents, et l’on montre que l’on possède les connaissances nécessaires aux changements que l’on revendique. Vous pourrez ainsi apprendre à concevoir un site web en autonomie, les fondamentaux de WordPress et l’optimisation et référencement naturel SEO.

Quelles prises en charge possible pour les formations ?

Afin d’aider les entreprises à se former sans se ruiner et surtout permettre à n’importe quel business d’accéder au contenu, sans conditions, plusieurs systèmes d’aides sont mis en place. Voici un petit guide pour vous éclairer sur les disponibilités.

Formation_Formation éco responsable_Centre de formation_Formation professionnelle_Saint Malo_Rennes_Dinard_evolution professionnelle_Reconversion professionnelle_learning_formation à distance_Formation prise en charge OPCO_CPF

Les OPCO

Les OPCO, ou opérateurs de compétences « ont pour missions de financer l’apprentissage, d’aider les branches à construire les certifications professionnelles et d’accompagner les PME pour définir leurs besoins en formation. » . Chaque opérateur est rattaché à une branche, un domaine professionnel. Il vous faut donc vous renseigner sur lequel est compétent pour le vôtre. Un fois rattaché à cet opérateur, il vous sera plus facile d’accéder à des formations et de bénéficier d’une aide pour la financer. Pour chaque formation qui souhaiterez effectuer, il faudra faire une demande auprès de l’opérateur et attendre la validation ou non pour un remboursement partiel ou total.

Le FNE Formation renforcée

Cette aide de l’état mise en place à la suite de la crise du Covid-19 permet à toutes les entreprises impactées par la crise sanitaire de développer des compétences. Toutes les formations sont concernées par cette aide, tant qu’elles sont dans un parcours de formation structuré. Selon la taille de votre entreprise ainsi que sa situation, l’aide permet de rembourser 40 à 100% des coûts de la formation. Renseignez-vous auprès des organismes de formations ou sur le site du gouvernement.

Qu’est-ce qu’une entreprise écoresponsable?

Qu’est-ce qu’une entreprise écoresponsable?

Une entreprise écoresponsable se construit sur un modèle durable avec pour mission de limiter son empreinte écologique et environnementale. Au delà de répondre à un vrai besoin, elle a pour volonté d’agir en faveur du développement durable et réfléchie à ses actions et prises de décisions comme une globalité pour un monde plus résilient. Comme l’ADEME, l’Agence de la transition écologique le définit, c’est l’ensemble des activités d’une entreprise écoresponsable doit « prévenir, réduire ou mesurer les atteintes des activités humaines à l’environnement ».

Les entreprises écoresponsables se basent donc sur une démarche de Responsabilité Sociétales des Entreprises (RSE), et agissent à différents niveaux pour améliorer de façon continue leurs actions.

La consommation énergétique :

On retrouve d’abord la consommation énergétique de l’entreprise, pour laquelle l’entreprise peut réfléchir aux différents moyens de moins consommer, mais aussi de mieux consommer, en faisant attention au choix du fournisseur d’électricité, en choisissant des équipements peu énergivores, que ce soit le matériel informatique, l’électro-ménager, les types d’éclairages et d’isolation. La consommation d’eau va de pair avec la consommation électrique et est un autre point important pour l’éco-responsabilité des entreprises.

L’impact carbone :

Il y a également l’impact carbone, qui peut être contrôlé en favorisant les transports verts, comme les innovations électriques, le vélo, les transports en commun, mais aussi en étant conscient de l’impact de ses achats. C’est pourquoi les entreprises écoresponsables favorisent l’économie circulaire en choisissant les circuits courts, le local, mais aussi la seconde main ou les matériaux recyclés, qui peuvent être initiée dans le choix des meubles de bureaux. L’impact carbone d’une entreprise évolue également selon son impact numérique.

Le numérique responsable :

Aujourd’hui, l’activité numérique est l’une des plus génératrice en terme de gaz à effets de serre, c’est pourquoi les entreprises écoresponsables vont adopter des gestes simples comme le tri des mails ou le choix d’un site internet éco-conçu. En parlant de gestes simples, il est évident qu’une entreprise visant un impact positif doit être engagée dans la gestion des déchets physiques. Pour se faire, elle peut veiller au tri sélectif, au recyclage, et surtout chercher à produire le moins de déchet possible, car le meilleur déchet est celui qui n’existe pas.

Le sociétal et l’Humain :

Mais l’éco-responsabilité ne s’arrête pas là. En effet dans le RSE, la notion sociale et humaine occupe une grande partie, lorsque que l’on veut avoir un impact positif sur la planète, il est illogique de négliger l’humain. De ce fait, une part importante des décisions prises par les entreprises vise à favoriser le bien-être au travail, tout en mettant un point d’honneur sur le choix des collaborateurs et des fournisseurs, qui doivent d’une part porter les mêmes valeurs et de l’autre travailler dans des conditions décentes et être rémunérés à juste titre.

Dans sa finalité, l’entreprise écoresponsable est force d’innovation et d’amélioration pour véhiculer des valeurs positives, et générer un impact moindre sur l’environnement. Par ses actions, elle sensibilise les acteurs qui l’entoure, que ce soit des concurrents, collaborateurs ou clients, et tend à faire passer un message d’engagement pour la durabilité.

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Six étapes de l’idée à la création de valeurs ajoutées :

Afin d’assurer de la viabilité de son projet, il est nécessaire de réfléchir méticuleusement à la création de son entreprise écoresponsable. Même si l’envie, la passion et la volonté d’agir vous anime, il est impératif de s’attarder sur ces différents points.

Déployer un business model vertueux

Le business model est le point de départ pour passer de l’idée à la création d’un business à impact positif. Le business vertueux doit reposer sur une idée originale, innovante, répondre à un besoin réel afin de pouvoir se démarquer et surtout avoir pour finalité d’apporter au monde une réponse durable pour l’Homme, l’Environnement et la Société. Le business model vertueux est la manière la plus sécuritaire d’assurer la viabilité financière de son activité. Pour se faire, il faut d’abord réaliser une étude du marché, afin de pouvoir définir les besoins, une cible et un positionnement. Sans un business model vertueux bien défini, le risque est que l’activité ne soit pas viable ou que vous fassiez du greenwashing. Il sert également à présenter son projet aux différentes parties prenantes : la presse, les collectivités publiques, les futures partenaires et investisseurs de manière claire afin qu’ils comprennent les atouts de votre démarche.

Incarner des valeurs éthiques et authentiques

Le pilier du business écoresponsable est de faire bouger les lignes de notre société pour avoir un monde plus respectueux de nos ressources naturelles et des espèces qui peuplent notre planète. Et pour expliquer votre démarche la communication doit refléter vos valeurs éthiques, durables et environnementales. Il faut être conscient des valeurs que vous souhaitez véhiculer et les mettre en avant en communicant, car elles sont un atout et fonde le cœur de votre projet, qui trouvera son public grâce à son authenticité.

Identifier et intégrer les parties prenantes

L’objectif est d’instaurer un dialogue avec les parties prenantes de l’entreprise ou de l’organisation pour progresser ensemble et créer de la richesse sur votre territoire. Dans un premier temps, il importe de lister les acteurs de votre projet, qu’ils soient internes (salariés, dirigeants, investisseurs…) ou externes (clients, fournisseurs, collectivités, associations…). S’entourer des bonnes personnes et l’une des clés pour qu’un projet réussisse. Puis formaliser les actions créatrices de richesses locale et/ou nationale.

Piloter une stratégie au service de la performance économique, sociétale et environnementale

Même si votre business écoresponsable se construit sur une démarche respectueuse de l’Homme et de l’Environnement, il n’en reste pas moins plus performant. Plus la démarche RSE (responsabilité sociétale des entreprises) est intégrée dans la stratégie, plus l’écart de performance globale est grand. En effet, d’après une étude du Boston consulting group l’écart montre que les entreprises qui intègrent la RSE à leur stratégie sont 13% plus performantes que les entreprises qui ne le font pas. Le modèle « entreprise éco-responsable » permet d’actionner de multiples leviers pour progresser :

  • Préserver la diversité des espèces & les ressources naturelles et énergétiques.
  • Satisfaire les besoins en santé, éducation, habitat, emploi, prévention de l’exclusion, équité.
  • Créer des richesses et améliorer les conditions de vie matérielle.

Cet engagement est de plus en plus attendu et même exigé par les clients et les directions des achats, les banquiers et assureurs, les pouvoir publics, le grand public et les salariés.

Créer de la valeur et la partager

L’ISO 26000 (norme de la Responsabilité sociétale des entreprises) s’appuie sur les parties prenantes : « La responsabilité d’une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et activités sur la société et sur l’environnement, se traduisant par un comportement éthique et transparent qui : contribue au développement durable, y compris à la santé et au bien-être de la société ; prend en compte les attentes des parties prenantes ; respecte les lois en vigueur tout en étant en cohérence avec les normes internationales de comportement ; est intégré dans l’ensemble de l’organisation et mis en œuvre dans ses relations » (NF ISO 26 000, 2010).

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Du fait de leur ADN, les entreprises écoresponsables sont capables d’incarner des «bénéfices » sociaux et environnementaux dans leur quotidien au travers leurs produits et/ou services. Même si le marché du made in France, du Bio, des services, de l’innovation verte a le vent en poupe pour être authentique et durable, il est impératif de créer de la valeur et d’incarner à tout point de vue la démarche RSE autour de votre produit ou service et au sein de votre entreprise. L’étape suivant consiste à communiquer et partager la démarche écoresponsable, notamment en collaborant avec d’autres structures, et essaimant vos pratiques et en échangeant pour sensibiliser à vos actions.

Progresser dans ces pratiques écoresponsables

Si vous êtes une entreprise déjà installée depuis un certain temps et que vous souhaitez petit à petit vous tourner vers des pratiques plus responsable pour la planète et l’humain, voici quelques pistes vers pour commencer cette transition. Le but de ces améliorations étant de limiter l’impact sur l’environnement, de consommer moins ou mieux.

Repenser sa consommation énergétique :

Nombreux sont ceux qui pratiques déjà ces petits gestes au quotidien comme réduire la consommation électrique, numérique, d’eau, et de chauffage. On peut par exemple, éteindre les éclairages superflus et le matériel électronique en fin de journée, privilégier les appels téléphoniques aux mails et baisser le chauffage. Cela permet d’une part de consommer moins d’énergie, mais aussi de faire des économies sur ses factures. Vous pourrez ensuite vous diriger vers des changements plus impactants, comme les choix de fournisseurs d’énergie verte, de matériaux et d’équipements biosourcés…

Apprendre à restreindre sa consommation de fournitures :

Dans les entreprises, il va de soi que les fournitures de bureaux de type papier, encre et matériel bureautique sont indispensables, mais des gestes simples peuvent être initiés. D’abord, imprimer seulement lorsque cela est réellement nécessaire, imprimé en noir et blanc, en recto-verso et privilégier les échanges en face à face ou quelques supports numériques pour communiquer, notamment lorsqu’il s’agit de communication interne.

Penser à l’économie circulaire :

L’économie circulaire représente un nouveau modèle économique systémique. La notion d’économie responsable vise à se concentrer sur l’usage et la fonctionnalité. Concrètement, jetez le moins possible et préférez : réparer, recycler et faire usage des compétences, produits ou services de personnes dans un circuit court. Pour la notion de recyclage, on peut d’abord penser aux bacs à tri, et surtout stopper l’utilisation d’objets à usage unique (gobelet, vaisselle, bouteilles d’eau), en mettant en place des fontaines à eau et de la vaisselle lavable. Si un équipement est en panne, réfléchir à le réparer plutôt que de la remplacer, en faisant appel à des experts qualifiés. Il est important de faire marcher l’économie locale en choisissant des entreprises ou associations proches de chez nous, ce qui limite les déplacements et donc les émissions de carbone.

Les émissions de carbone :

Le choix du transport peut facilement être amélioré, notamment en utilisant les transports en communs, le vélo, la marche et les trottinettes. Si la voiture est indispensable, pourquoi ne pas penser au covoiturage ? Pour ce qui est des émissions liées aux achats, consommer local semble encore être la meilleure solution, avec des modes de consommations alternatives comme la seconde main ou la récupération. On peut envisager également l’intégration de plats végétariens dans le self de l’entreprise, s’il en possède un.

L’aspect de bien-être au travail :

Pour terminer, vous pouvez discuter des solutions à mettre en place inhérentes au bien-être des salariés au sein de votre entreprise. En organisant des réunions, des questionnaires et en favorisant la communication, des modifications pourront surement être apportées, notamment au niveau de l’espace de travail, de l’équipements, de l’organisation, des services proposés par l’entreprise ou bien de l’ambiance de travail.

Impulser une démarche RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises)

Impulser une démarche RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises)

La RSE ou Responsabilité Sociétale des Entreprises est une mise en pratique des principes du développement durable par les entreprises. Pour les organisations au sens large, on parle de RSO ou Responsabilité Sociétale des Organisations.

Une entreprise qui pratique la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) a un impact positif sur la société, elle respecte l’environnement tout en étant économiquement viable. Avec ses parties prenantes : collaborateurs, clients, fournisseurs, actionnaires et acteurs du territoire, l’entreprise vapouvoir contruire sa démarche RSE.

Aujourd’hui depuis la loi Pacte, les attentes sociétales sont de plus en plus importantes. Toutes les entreprise française doivent prendre en considération les enjeux environnementaux et sociaux dans le pilotage de leurs activités.

Les grandes entreprises et celles cotées en bourse sont soumises à des réglementations spécifiques : le reporting extra-financier ou la déclaration de performance extra-financière (DPEF).

En tant que parties prenantes : fournisseurs ou sous-traitants des grandes entreprises, les TPE et PME sont donc aussi de plus en plus incitées à adopter une démarche RSE. On le voit par exemple dans les appels d’offre qui demandent de plus en plus de précisions sur les implications environnementales,socialeset de gouvernance.

Adopter une démarche RSE s’avère être un véritable levier de développement et de performance pour l’entreprise. En plus de créer de la valeur financière, environnementale et sociale, cela valorise l’image de marque.

L’agence Colibri Communication vous explique comment impulser une démarche RSE au sein de votre entreprise et quels en sont les bénéfices.

Structurer sa démarche RSE : établir un plan d’action

La démarche Responsabilité Sociétale des Entreprises est très vaste et touche beaucoup de sujets : environnement, ressources humaines, éthique, gouvernance d’entreprise, droit du travail… Elle est relative à chaque organisation mais elle doit toujours se définir étape par étape, dans un objectif de cohérence globale.

1. Initier la démarche RSE : Identification des enjeux et des parties prenantes

Pour initier une stratégie RSE, l’entreprise doit identifier ses enjeux afin d’élaborer un plan d’action durable et pertinent.

Pour cela, l’entreprise peut réaliser un diagnostic de ses performances, de son impact, des axes de progrès qu’elle peut effectuer mais aussi des attentes de ses parties prenantes. Il est donc primordial de bien recenser toutes les parties prenantes et d’organiser un véritable dialogue avec elles pour co-construire la démarche RSE. Réaliser ce diagnostic permet d’identifier la responsabilité sociale et les enjeux propres à l’organisation et ainsi de déterminer les domaines d’actions prioritaires.

2. Définir les engagements RSE de son entreprise

Une fois les enjeux identifiés, l’entreprise doit, en consultant ses parties prenantes, prioriser ses axes à investir. Elle peut utiliser la matrice de matérialité afin de les cartographier et de les hiérarchiser.

Les engagements RSE doivent être définis dans le temps à court, moyen ou long terme et s’appuyer sur des objectifs chiffrés. Chaque action aura ainsi un cahier des charges indiquant le descriptif, le calendrier de réalisation, les résultats attendus, le budget alloué, les moyens humains mobilisés, les partenaires associés… Des indicateurs économiques, sociaux ou environnementaux, pertinents en fonction de chaque action, doivent également être indiqués pour pouvoir vérifier l’avancement du projet et mesurer les résultats.

3. Intégrer la stratégie RSE dans l’entreprise

Cette étape consiste à intégrer la stratégie RSE au sein de l’organisation. Plusieurs instances peuvent ainsi être mises en place pour guider la gouvernance de la démarche RSE : comité stratégique, comité technique, comité des parties prenantes…

Un responsable ou correspondant RSE peut également être nommé afin de piloter la démarche RSE au quotidien. Il pourra ainsi diffuser le plan d’action à l’ensemble des salariés de l’entreprises en expliquant les différentes actions mises en œuvre. Cette étape est essentielle pour mobiliser les salariés dans la démarche RSE.

4. Évaluer la démarche RSE avec des indicateurs de performance

L’étape suivante de la démarche RSE a pour objectif de mesurer les engagements. Les indicateurs, définis préalablement, permettent de mesurer les résultats de chaque action et ainsi de connaître les progrès de l’entreprise et les voies d’amélioration possible en matière de RSE.

Publier un rapport ou reporting RSE est également un bon moyen pour rendre compte de la démarche.

5. Communiquer sur la démarche RSE avec le rapport RSE

Une fois la démarche mise en place et évaluée, il est important de partager les résultats, en toute transparence, aux différentes parties prenantes. Communiquer sur la démarche RSE permet de favoriser l’adhésion et la mobilisation des collaborateurs en interne mais également de valoriser les bonnes pratiques et ainsi se différencier des concurrents en externe.

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Mobiliser les parties prenantes dans la démarche RSE

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La RSE implique toutes les parties prenantes de l’entreprise. Même si les grandes décisions sont souvent prises par le Président ou le Directeur Général. Il est important de mobiliser l’ensemble des acteurs et partenaires de l’entreprise afin d’atteindre collectivement les objectifs environnementaux et sociaux et ainsi générer une performance durable.

Les parties prenantes internes doivent donc s’investir sur les enjeux du développement durable de l’entreprise. L’adhésion et la mobilisation de la gouvernance RSE : la direction, des manageurs et de tous les employés sont essentielles. Il faut qu’ils deviennent de véritable portes paroles de la RSE et qu’ils placent le développement durable au cœur de leur métier. Pour cela, il faut parvenir à diffuser la culture RSE de l’entreprise en créant une véritable prise de conscience des collaborateurs sur les enjeux du développement durable.

Le dialogue avec les parties prenantes externes (clients, consommateurs, associations, fournisseurs, ONG…) est tout aussi important. Il permet déterminer la place de l’entreprise dans la société et apporte de nombreux avantages en termes de performance et de prévention des risques. Il s’agit d’un véritable processus d’amélioration continue dont l’objectif est de trouver des solutions à des enjeux et intérêts communs.

Les bénéfices de la démarche RSE au cœur de l’entreprise

Placer le développement durable au cœur de la stratégie d’entreprise est une véritable opportunité d’améliorer son engagement social et environnemental. Cela apporte de nombreux bénéfices pour l’entreprise.

La RSE valorise l’image de l’entreprise

S’inscrire dans une démarche de développement durable permet à l’entreprise de valoriser son image. Une meilleure image pour l’entreprise a de nombreux avantages : se démarquer des concurrents, renforcer sa réputation, fidéliser les clients, attirer de nouveaux collaborateurs…

La RSE créée des relations pérennes avec les parties prenantes

Impulser une démarche RSE aura l’avantage de rassembler toutes les parties prenantes de l’entreprise autour d’un même projet porteur de sens. Que ce soit avec les salariés, clients ou fournisseurs, les relations seront plus fortes et de meilleure qualité.

La RSE améliore les performances de l’entreprise

Avoir une démarche RSE permet d’améliorer les performances de l’entreprise : fidéliser les clients, attirer de nouveaux clients soucieux de consommer des produits et services plus responsables, réduire les coûts de production en repensant à la conception des produits et services en utilisant moins de ressources…

Ainsi, impulser une stratégie RSE au coeur de l’entreprise est un réel levier de croissance. Prenez contact avec l’Agence Colibri Communication pour initier une démarche RSE au sein de votre entreprise et vous formez aux enjeux du développement durable.